Les règles métier et la logique jouent un rôle essentiel dans le fonctionnement efficace d’une organisation. Ils définissent les attentes, fournissent des directives sur la performance au travail, assurent la conformité et aident les organisations à automatiser leurs processus.
Dans cet article, nous examinerons 10 exemples de règles métier courantes pour illustrer leurs applications réelles potentielles.
Que sont les règles métier ?
Les règles métier sont des directives qui définissent les activités commerciales d’une organisation. Ils sont importants parce qu’ils clarifient les objectifs d’une organisation et détaillent la façon dont les processus seront exécutés. Les règles métier peuvent être informelles, écrites ou automatisées.
Lorsqu’il s’agit d’automatiser des règles, un système de gestion des règles métier (BRMS) joue un rôle extrêmement important. Un BRMS est une solution logicielle utilisée pour définir, déployer, exécuter, surveiller et gérer des règles métier. Il existe un large éventail de systèmes de règles métier disponibles, mais ils ont tous trois composants clés.
Tout d’abord, les règles métier sont stockées dans un référentiel. Un référentiel est une infrastructure de base de données qui collecte, gère et stocke des données plutôt que d’intégrer des règles dans le code d’une application. Deuxièmement, un BRMS fournit des outils de développement faciles à utiliser qui permettent aux utilisateurs de définir et de gérer des règles métier sans avoir besoin d’écrire du code.
Enfin, un environnement d’exécution permet aux applications d’invoquer les règles métier applicables et de les exécuter à l’aide d’un moteur de règles métier. Notez qu’un moteur de règles métier peut également être acheté indépendamment d’un BRMS.
Les organisations susceptibles de bénéficier d’un GRB comprennent:
- Organisations régies par des règles métier ou des politiques internes définies.
- Organisations cherchant à améliorer l’efficacité tout en prenant des décisions plus éclairées.
- Organisations préoccupées par les problèmes de conformité et souhaitant réduire la possibilité d’actions légales et réglementaires.
- Organisations qui accordent la priorité à la flexibilité pour s’adapter aux conditions changeantes du marché.
Exemples de règles métier courantes
Règles de remise client
Les règles métier sont couramment utilisées pour offrir des remises aux clients. Par exemple, une organisation peut avoir une politique pour accorder aux clients qui dépensent 5 000 $ au cours d’une année civile un rabais sur leurs achats une fois que ce seuil est atteint. La règle pourrait être la suivante: « Si un client dépense plus de 5 000 $ au cours d’une année civile, offrez un rabais de 15% sur chaque article. »
Suspension automatique des services d’abonnement
Les modèles de frais d’abonnement sont courants dans presque toutes les industries. Pourtant, la gestion manuelle de la facturation des abonnements et du service ronge votre résultat net. Pour le rendre facile, peut automatiser la suspension du service pour non-paiement. Ainsi, une organisation peut créer une règle métier qui annule le service pour tout client qui ne parvient pas à effectuer un paiement (c’est-à-dire plus de 30 jours en retard).
Commissions de vente automatisées
De nombreux employés sont rémunérés sur la base de commissions ou reçoivent des primes en fonction de leur performance. Pour simplifier le processus, la comptabilité pourrait créer une règle selon laquelle : » Si un employé vend des produits d’une valeur supérieure à 50 000 within au cours d’une année civile, il recevra une prime de 5 000 $. »Cette règle garantit qu’un employé est payé comme convenu sans avoir à suivre manuellement les ventes.
L’affectation des actifs aux nouveaux employés
L’intégration des employés prend beaucoup de temps. Les employés doivent être formés, avoir accès au système et recevoir des actifs, entre autres choses. Un exemple de règle métier d’intégration courante peut être que tous les nouveaux employés se voient attribuer une adresse e-mail. Les informations d’identification seraient automatiquement créées permettant à l’employé d’accéder au système et de choisir un nouveau mot de passe.
Règles commerciales relatives aux taux d’intérêt des prêts immobiliers
Les banques sont tenues de recueillir de nombreuses données lors de l’octroi d’un prêt hypothécaire, telles que des informations sur la maison achetée et les antécédents de crédit de l’emprunteur. La logique métier joue un rôle important dans l’automatisation des processus de prêt manuels. Par exemple, une banque peut spécifier un pointage de crédit minimum pour bénéficier d’un taux d’intérêt spécifique.
Déclencheurs d’opérations douteuses
Pour atténuer la fraude, les institutions financières s’appuient sur l’automatisation pour signaler les opérations douteuses. Avec ces règles, les banques peuvent spécifier des frais qui déclenchent l’authentification. Par exemple, les transactions par carte de crédit hors de l’État de plus de 1 000 $ pourraient nécessiter qu’un représentant contacte le titulaire de la carte pour vérifier la transaction.
Génération des numéros d’identification des étudiants
Les bureaux d’admission sont également chargés de collecter et d’examiner de nombreuses informations. Les règles métier peuvent aider à rationaliser le processus de demande ainsi que l’inscription. Par exemple, une fois qu’un étudiant est accepté, le système peut générer automatiquement des numéros d’identification d’étudiant. Les règles peuvent déterminer à la fois le préfixe et le nombre de caractères requis.
Demandes refusées selon les scores
Les propriétaires et les sociétés de gestion immobilière sont chargés d’examiner les demandes de location. La création de règles pour approuver ou rejeter les demandes peut rationaliser le processus. Par exemple, une organisation pourrait créer une règle qui refuse une demande de location pour un demandeur dont la cote de crédit est inférieure à un seuil spécifié.
Calcul automatique des tarifs d’expédition
Définir clairement les tarifs d’expédition aide les organisations à fournir un bon service à la clientèle et à s’assurer que chaque vente est rentable. La logique métier est couramment utilisée pour calculer les taux. Par exemple, « Le taux de base est de 2 per la livre, mais est réduit à 1,50 per la livre pour les excédents de plus de 10 livres. »
Demandes d’achat par montant
Les processus d’approbation manuelle sont inefficaces et entraînent souvent des retards pendant que les employés poursuivent les superviseurs pour obtenir des signatures. Avec un BRMS, une organisation peut approuver automatiquement les demandes d’achat d’un certain montant, par exemple 2 000 $. Pour les demandes d’achat de plus de 2 000 $, la règle peut exiger que la demande soit examinée par un superviseur.