Si vous avez reçu un avis d’appel de l’Agence des services frontaliers du Canada pour assister à leurs bureaux afin de planifier votre expulsion, ou si vous avez déjà assisté à une telle réunion, vous devez agir rapidement et retenir les services d’un avocat en immigration expérimenté pour tenter de vous empêcher d’être expulsé du Canada. Alors, n’hésitez pas. Le temps presse. L’avocat en immigration que vous embauchez aura besoin d’autant de temps que possible pour préparer le meilleur cas pour plaider pour que vous ne soyez pas expulsé du Canada.
Il y a deux façons principales de tenter d’arrêter la déportation. La première consiste à demander à l’ASFC de reporter votre expulsion. L’autre est d’aller à la Cour fédérale et de demander à un juge de suspendre votre renvoi.
Lorsque vous demandez un report à l’ASFC, vous devez être en mesure de donner une bonne raison pour laquelle votre expulsion devrait être reportée. Par exemple, vous êtes enceinte et sur le point de donner naissance à un enfant, ou vous avez déjà déposé une demande pour motifs humanitaires en temps opportun qui est toujours en cours de traitement.
Pour que votre expulsion soit suspendue par un juge de la Cour fédérale, vous devez, entre autres, démontrer que votre expulsion du Canada vous causera un préjudice irréparable.
Le succès de l’arrêt de la déportation par l’un ou l’autre de ces moyens ne peut être garanti, mais le Cabinet d’avocats Eastman a aidé avec succès de nombreuses personnes comme vous à lutter contre l’expulsion du Canada.