Née à Sudbury, Dianne Croteau obtiendra un diplôme du Département de design industriel de l’Université Carleton d’Ottawa. Elle et Richard Brault ont créé leur propre entreprise peu de temps après et ont joint les deux bouts au début en travaillant sur des projets de design industriel et graphique. Dianne Croteau a obtenu une maîtrise en design de l’Académie Domus de Milan et un baccalauréat en design industriel de l’Université Carleton, à Ottawa. Elle est l’une des fondatrices du Studio Innova (Toronto) avec Richard Brault et demeure une partenaire active (Studio Innova, page ‘Dianne Croteau’, 2008, para. 1).
En 1983, lorsque Dianne et ses associés ont fondé Studioa Innova, peu savaient probablement que la société finirait par affecter autant de domaines de la technologie. Maintenant une entreprise primée basée à Toronto, au Canada, Studio Innova a effectué plus de 800 missions dans diverses catégories de design et secteurs technologiques, notamment: soins de santé, médecine du sport, services médicaux d’urgence, énergies renouvelables, agriculture urbaine, conservation de l’environnement, mobilier, éducation et transport. La conception de produits et la planification stratégique sont au cœur des points forts de Studio Innova. Comme l’entreprise porte une sensibilité à l’écologie et aux aspects sociaux du jour dans sa planification de solutions, Studio Innova valorise l’importance de la recherche en design et continue d’apporter « l’intelligence écologique et les considérations sociales » dans ses solutions (Studio Innova, page ‘story’, 2008, para 2).
De nombreux projets de Studio Innova sont entrepreneuriaux et initiés en interne alors qu’ils recherchent, développent et autorisent des conceptions finies. Le cabinet a également fourni des services de conception à des sociétés multinationales, des gouvernements, des organisations à but non lucratif, des entreprises en démarrage et des groupes communautaires. Plusieurs produits fabriqués par Dianna et Studio Innova ont obtenu des brevets nationaux ou internationaux. En outre, certains produits ont été présentés à l’échelle internationale dans des publications de design (revues, journaux, télévision et radio). Enfin, parmi les prix décernés à Dianne et à son cabinet, mentionnons les Prix canadiens d’excellence en design industriel et en innovation, le prix Best of Show des Financial Post Design Effectiveness Awards et le Prix d’excellence de l’Association des architectes de l’Ontario (Studio Innova, » story page « , 2008, para 1,3).
Les intérêts et l’expérience de Dianne Croteau l’ont amenée à occuper un large éventail de postes professionnels : de designer principale, à gestionnaire de projet, d’entrepreneure en design à membre du corps professoral d’un collège. Ses intérêts atteignent toutes les étapes du processus de conception et elle est tout aussi à l’aise avec les aspects théoriques que techniques de son industrie. Son expérience couvre de nombreuses disciplines et secteurs, notamment les soins de santé, les secours d’urgence, le mobilier, l’architecture, l’éducation, les jardins communautaires, les énergies renouvelables et les transports à énergie humaine. Les projets et produits de Dianne ont reçu plusieurs brevets et récompenses, et son travail a été publié à l’international. Le point culminant de sa carrière a été le développement de l’Actar 911, qui a contribué à changer les normes de l’industrie.
Actuellement, Dianne partage son temps entre les projets de Studio Innova et l’enseignement à l’Ontario College of Art et à l’Institut sans frontières (Collège George Brown). Comme si Dianne n’était pas assez occupée à contribuer à ses propres projets professionnels et à ses études, elle a également occupé plusieurs postes au conseil d’administration. Parmi les membres du conseil d’administration, mentionnons : L’Association of Chartered Industrial Designers (Ontario), le jardin communautaire Alex Wilson et Evangel Hall. Croteau a également fait partie du jury de plusieurs concours de design pour encourager et inspirer les technologues actuels et futurs (Studio Innova, page ‘Dianne Croteau’, 2008, para. 2 et 3).